Avec le coronavirus, les 79, 5 millions de réfugié·e·s et de victimes de déplacements forcés sont parmi les plus exposé·e·s et vulnérables, s’alarmait le Haut-Commissariat pour les Réfugié·e·s (HCR) des Nations-Unies. Pourtant, la protection internationale de ces personnes est une obligation juridique. Si l’affaiblissement du droit d’asile n’est pas nouveau,… Lire la suite